A internacionalização da educação superior brasileira no contexto do programa ciências sem fronteiras e os diálogos como o desenvolvimento

Abstract

Cette étude s’insère dans le thème de la gestion publique et vise à analyser le mouvement d’'internationalisation de l'enseignement supérieur au Brésil, du « Science sans frontières », dans le cadre du programme de développement. Les objectifs spécifiques sont la catégorisation du CsF, l’analyse du contexte de l’internationalisation de l’éducation Supérieure brésilienne et les dialogues établis entre le CsF et le développement local dans ce contexte. La méthodologie d’approche qualitative, descriptive et documentaire présente une revue de la littérature des auteurs sur le sujet, et s’appuie sur des données officielles issues du programme Sciences sans frontières et des institutions credibles et reconnues. Depuis les années 1990, l’internationalisation croissante de l'éducation est basée sur les rapports entre les pays et leurs institutions en raison des nouvelles exigences issues du processus de mondialisation. Ainsi, afin de survivre à la concurrence mondiale, l'éducation / la qualification professionnelle est devenue une alternative visant l'augmentation de la productivité des entreprises/ industries. L'objectif proposé par l'internationalisation de l’éducation superieure brésilienne, qui s’est intensifiée dans les années 2000, a été la poursuite du développement national et régional économique du pays au travers de la formation, de la qualification et du transfert de technologie et de connaissances en provenance des pays industrialisés. Le programme Science sans frontières a été mis en œuvre en 2011 afin de restructurer et de renforcer l'internationalisation de l'enseignement supérieur du pays, mais a été basé sur l'histoire d'un système éducatif brésilien précaire, contradictoire et non démocratique. Le CsF a été mis en place afin d’encourager l'inclusion sociale, mais le programme favorise plutôt l'élite et le secteur industriel du pays, car elle nécessite la connaissance préalable d'une langue étrangère et donne la priorité aux domaines liés à la technologie. Le programme a été remis en question, notamment en ce qui concerne les effets (les impacts) qu’il a sur la population qui y participe. Il est necessaire de prendre certaines mesures pour que le CsF atteigne ses objectifs d'internationalisation et de développement du pays avec une plus grande efficacité ; une meilleure participation des établissements d'enseignement supérieur de toutes les régions du Brésil; une diversification des domaines prioritaires du programme, en encourageant les domaines des sciences humaines et de la santé; l’évaluation permanente des besoins et des types de bourses à octroyer premier cycle, master, doctorat, etc.) par le MEC; la focalisation sur les exigences echnologiques et productives du Brésil, ne se limitant pas uniquement à la réalité du pays d'origine; promotion du pays à la condition de pays producteur de connaissances plutôt que de simple importateur(condition périphérique).